mercredi 7 décembre 2011

Qui veut acheter la baraque de Phil ?

Notre ami Phil Rudd a appelé ce matin la rédaction d'AC/DC Le Blog pour demander un service.
Après l'avoir baladé de bureau en bureau (faut dire qu'il nous appelle cinq fois par jour pour nous raconter des histoires drôles totalement éculées... à la fin, ça lasse), c'est notre technicien de surface, en pleine pause, qui a daigné lui répondre.
Bien qu'appelant pour autre chose, Phil a bien essayé de lui en raconter une petite, mais Robert (celui qui nettoie chaque mois la moquette chez nous) l'a éconduit tout de suite : "Écoute Phil, t'es bien gentil, mais là, ce sont les fêtes, et ces gros dégueulasses du blog se sont pris une cuite hier soir, et j'ai du vomi partout dans le couloir, alors si tu pouvais faire court ..."

Déçu, notre pauvre Phil lui annonça donc brièvement qu'il mettait en vente sa maison en bord de mer, et qu'il voulait qu'on relaie l'information en France, histoire de voir, si, par un heureux hasard, il existait encore un Français capable de se payer sa baraque !

Robert lui a sèchement répondu qu'il avait intérêt à ne le rappeler que lorsqu'il entrerait en studio pour enregistrer le successeur de "Black Ice", et rajouta "Tu nous les casses Phil ! Nous, on a un métier !" avant de lui raccrocher au nez.

Comme le rédac-chef du blog est plus sympa que Robert, il a décidé quand même d'accorder ce petit service à Phil Rudd... pour la dernière fois !

Cliquez sur les photos pour agrandir
Alors ... "À Vendre, superbe villa divisée en deux lots (chaque étage indépendant) sur Harbour Drive à Tauranga, Nouvelle Zeelande.
Chaque lot comprend 3 chambres, 3 salles de bains et une vue sur le port.
Le lot du rez-de-chausée fait 281 m², il est vendu 1,11 million d'euros ; celui du premier mesure 305 m², au prix de 1,24 million d'euros. Visite sur rendez-vous.

Mais que se passe-t-il ? Phil déménage ? Où va-t-il vivre ? A-t-il des problèmes de fric avec son nouveau restaurant qui n'était qu'à cinq minutes de sa maison ? Quitte-t-il la Nouvelle-Zélande ? Voilà le tiers de la moitié du quart des questions que nous avons posées à Robert dès qu'il nous as transmis le message.

Ce que Robert nous a répondu, la décence nous interdit de vous le retransmettre, ébahis que nous sommes encore devant le flots d'insultes vulgaires que nous avons subies... En bref, et traduit en français lisible, il nous a expliqué qu'au lieu de nous biturer et de ruiner la moquette des bureaux, nous ferions mieux de répondre nous-mêmes au téléphone ! Voilà, ça nous apprendra à vouloir élever Robert socialement !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

je crois qu'il possède en fait deux maisons en NZ, et il s'en sépare d'une ! voila tout !

Anonyme a dit…

enorme, j'adore le ton de ce billet ! Congrats !

Sacré Robert, va !